Les demandes d’acomptes sur salaire explosent depuis 3 mois [Communiqué de Presse]

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L'équipe Rosaly
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Témoignages de 4 sociétés : Super U, Acorus, Bleu Libellule et Groupe Bertrand

Paris, le 22 mai 2024

Face à l’augmentation des demandes d’acomptes sur salaires, Rosaly, entreprise française à impact social (certifiée B-Corp), dévoile des cas d’usage d’entreprises françaises différentes mais avec des préoccupations salariales communes.

« La hausse de 7,7 % des crédits à la consommation (selon les chiffres de l’ ASF)souligne la situation économique encore très fragile des Français.Lors d’une récente Opinion Way (décembre 2023), 81% des Français affirmaient préférer recourir à l’acompte sur salaire plutôt qu’au découvert bancaire ou au crédit à la consommation, conscients des intérêts exorbitants de ces "solutions".Pourtant, nous ne leur offrons toujours que trop peu d'alternatives…L’acompte sur salaire est encore largement méconnu des Français (amalgame avance/acompte) et parfois encore refusé par les entreprises (alors qu’il s’agit d’une obligation légale des entreprises, inscrite au code du travail).Je vois de plus en plus d’entreprises chercher des solutions pour le bien-être financier de leurs salariés : le salaire à la demande, les prêts à taux 0, l’aide à l’épargne, etc.Nous assistons à une prise de position des entreprises dans l’accompagnement financier des salariés, ce n’est que le début et c'est une bonne chose, car la détresse financière des Français ne cesse de se creuser », a commenté Arbia SMITI, fondatrice de Rosaly.

Des demandes d’acompte multipliées par 3, un turnover qui chute de -35%

Témoignage d’Aurélie Fèvre, DRH Super U :

L’arrivée de Rosaly a permis à des personnes qui ne demandaient jamais d’acompte d’en demander. Les gens qui ne faisaient pas d’acompte tiraient sur leur découvert, avaient recours à des crédits à la consommation, ou encore la dépendance à la famille.Un signal positif pour l’entreprise qui préfère offrir plus de flexibilité aux salariés que de savoir qu’ils rencontrent des difficultés impliquant souvent le recours à des solutions coûteuses (découvert, crédit).Ça ne me fait pas peur d’avoir davantage de demandes d’acompte. Cela veut dire que les gens connaissent mieux leurs droits. Il faut que chacun soit libre de faire comme il veut : attendre la fin du mois ou gérer son budget au fil de l’eau. Aujourd’hui, 62% des salariés se sont inscrits sur Rosaly et 43%des salariés l’utilisent régulièrement."

Témoignage de Maxime Gourlet, DRH d'Acorus :

« Chez Acorus, ETI française spécialiste en éco-rénovation, le montant mensuel des demandes d'acomptes sur salaire s'élevait autour de 20/25k€. Mais depuis que l'entreprise a digitalisé ce processus en mettant en place l'appli Rosaly pour ses salariés, les demandes d'acomptes ont littéralement explosé ! Sur les 1200 salariés qui y ont accès, 50% s'y sont inscrits. Depuis sa mise en place en décembre, 2317acomptes ont été réclamés, portant désormais le montant mensuel des demandes d'acompte à 73K€en moyenne tous les mois. Cela concerne des gros comme des petits montants : certains salariés viennent tous les deux jours réclamer 20 ou 30 euros. Acorus flexibilise ainsi l'accès au salaire, à la manière de Lydia, 10 minutes après leur demande via l'appli Rosaly, les employés ont l'argent directement sur leur compte. »

Témoignage de Carine Legoux, Directrice RSE et Communication Interne de Bertrand Hospitality

« Rosaly permet d’offrir plus de flexibilité aux collaborateurs qui peuvent désormais réaliser desdemandes d’acomptes quand ils en ont besoin. Une flexibilité qui représente un vrai plus pour la fidélisation des salariés mais aussi pour développer l’attractivité de l’entreprise. Ainsi, nous avons enregistré -35% de turnover sur les salariés qui utilisent le solution ».

Témoignage de Cécile Ferlandin, DRH Bleu Libellule

« Un jour, un collaborateur m’a dit qu’en fin de mois, quand il achetait sa baguette de pain 1€, il la payait en réalité 9€ à cause des agios. Son salaire, il l’a déjà acquis mais ne peux pas s’en servir avant la paie. Et là, je me suis dit que ce n’était pas normal, qu’il fallait un salaire à la semaine. Avant la mise en place de Rosaly, c’était une personne sur dix qui faisaient des acomptes sur salaire, et pourtant aujourd’hui, c’est 50% des salariés qui en font et donc une personne sur deux qui en a besoin. »

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