

Longtemps considéré comme un simple droit peu utilisé, l’acompte sur salaire s’impose désormais comme un outil central de gestion du pouvoir d’achat.
En 2025, les comportements financiers des Français changent : pression budgétaire, imprévus, montée des frais bancaires, baisse de l’épargne disponible… Résultat : les salariés recherchent des solutions simples, rapides, et sans coût pour lisser leur budget.
D’après l’étude Rosaly 2025, ce n’est plus un phénomène marginal :
L’acompte n’est donc plus un dépannage ponctuel : c’est une réponse moderne et structurante au pouvoir d’achat.
Pendant longtemps, la réponse automatique aux fins de mois difficiles était bancaire : découvert autorisé, crédit de trésorerie, carte à débit différé…
Mais les Français ont changé d’arbitrage.
À cela s’ajoutent :
Dans ce contexte, l’employeur devient naturellement l’acteur légitime, car il est l’origine du revenu.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
➡️ Ces chiffres montrent que l’acompte n’est pas impulsif : il concerne des montants raisonnés, stables, utilisés comme outil budgétaire.
Pourquoi une telle croissance ?
L’augmentation des dépenses contraintes (loyer, énergie, transport, assurance) réduit mécaniquement la marge de manœuvre.
Les salariés qui demandent un acompte ne sont pas seulement les bas salaires :
imprévu automobile, échéance plus lourde ce mois-là, dépenses familiales saisonnières…
L’acompte :
C’est un filet de sécurité, pas un crédit.
Si les usages explosent, les entreprises doivent adapter leurs pratiques.
Le problème ?
Les demandes d’acompte “classiques” sont complexes, chronophages, et juridiquement sensibles.
Avant (sans digitalisation)
Aujourd’hui : l’acompte se digitalise
Les solutions modernes comme Rosaly permettent :
L’entreprise passe d’un outil artisanal à un dispositif sécurisé, fluide et encadré.
Les entreprises qui proposent une solution d’acompte digitalisée observent des résultats significatifs, tous secteurs confondus :
Dans un marché de l'emploi tendu, mentionner l'accès à un acompte digitalisé est devenu un argument différenciant en recrutement.
Des clients Rosaly (retail, restauration, BTP) constatent jusqu’à :
La sérénité financière est un levier RH majeur.
Chez plusieurs entreprises équipées :
L’acompte réduit :
Là où le découvert est opaque, l’acompte est :
C’est un système gagnant-gagnant :
- utile pour le salarié,
- simple pour l’entreprise,
- sans coût caché.
Si l’acompte explose, ce n’est pas un effet de mode : c’est un changement profond dans la gestion du budget des Français.
Face à l’augmentation des imprévus et au recul du pouvoir d’achat, les salariés n’attendent plus des solutions bancaires — ils attendent de leur employeur une réponse simple, immédiate, sécurisée.
Digitaliser l’acompte permet aux entreprises de transformer un sujet potentiellement sensible en avantage salarial structurant, générateur d’attractivité, de fidélisation et de performance RH.
L’enjeu dépasse la simple avance de trésorerie :
c’est un levier de qualité de vie, de stabilité et de pouvoir d’achat.
Oui. Tous les salariés peuvent demander un acompte correspondant au travail déjà effectué. L’employeur est légalement tenu d’accepter.
Non. Contrairement au découvert ou au crédit conso, l’acompte ne comporte aucun intérêt et ne crée pas de dette. C’est une avance sur salaire déjà gagné.
Tous les secteurs sont concernés, mais la hausse est marquée dans :
retail, restauration rapide, BTP, services, santé.
Les imprévus touchent aussi bien les bas que les moyens salaires.
Environ 500 €, un montant stable d’une année à l’autre selon l’étude Rosaly 2025
Pour éliminer les erreurs de paie, réduire la charge administrative, offrir un service 24/7 et installer un dispositif encadré et sécurisé.
Les entreprises équipées constatent :
Non : la digitalisation est un service à faible coût, souvent sans avance de trésorerie côté employeur (selon le modèle choisi).